les infos :)

En postproduction, la comédie d'horreur Harold's Going Stiff est le second long-métrage du Britannique Keith Wright (Take Me to Your Leader). Situé dans le Yorkshire, en Angleterre, le film raconte l'histoire d'Harold Gimble, un retraité qui devient peu à peu zombifiés à partir d'une affection qui ne frappe que les hommes. On lui assigne une jeune infirmière, Penny, pour soulager sa rigidité, et ils deviennent rapidement de bons amis. Mais tandis que leur relation s'épanouit, Harold prend un mauvais virage et bientôt ils se retrouvent traqués par un groupe de justiciers sanguinaires. Le scénariste et réalisateur pense avoir concocté une variation originale du thème des zombies, ainsi qu'il l'explique : «La plupart des films de zombies concernent principalement les affrontements entre ces derniers et les humains, ce qui est évidemment très amusant, et l'on retrouve bien sûr cet aspect ici, mais j'étais également intéressé par l'idée à explorer l'histoire d'un point de vue plus humaniste. Notre film est centré autour de Harold, un personnage qui devient peu à peu zombifié et nous voyons comment cela affecte sa relation avec son amie intime Peggy. La maladie est une menace terrifiante, mais elle peut aussi être source de force et de détermination chez les individus, et c'est quelque chose qui se trouve au coeur de notre film. Bien que le film ait été scénarisé, Keith voulait autoriser une marge d'improvisation sur le plateau. «J'adore l'improvisation, pour moi, cela garde le tournage passionnant, imprévisible et frais, et c'est de là que provient souvent beaucoup de cet humour que l'on trouve dans les films. Vous n'avez pas idée de ce que pourrait sortir de la bouche d'un de vos personnages et cela ajoute une autre couche deréalisme que je n'aurais jamais pu scénariser avoue Keith.

Dans Beneath the Darkness, de Martin Guigui (Cattle Call), avec Dennis Quaid (Légion), Aimee Teegarden (Scream 4), Tony Oller et Stephen Lunsford, après la mort de son meilleur ami, un garçon de 16 ans lutte pour exposer les sombres secrets liés à une maison "hantée". Le film se tourne actuellement à Smithville, au Texas.

L'eau des réservoirs contaminée par une mystérieuse substance empoisonne l'esprit des individus mâles l'absorbant, les transformant en misogynes frappés de la rage, des monstres quoi ne veulent rien de plus que d'écraser les têtes des femmes avec des pierres - ou tout autre objet. Lorsque la société est transformée en une terre de violence sadique et de brutalité horrible, c'est à Phil 0'Giny et sa voluptueuse amie Misandra qu'incombera la tâche de combattre ce terrible fléau. Tel est ce sujet de The Taint, comédie gore à (très) petit budget dans la lignée des productions Troma et signée par les nouveaux-venus Drew Bolduc et Dan Nelson. Inspirés par des titres comme Evil Dead 2, Braindead, la série "South Park" et les oeuvres de John Waters, les deux cinéastes ont tenu à reculer les limites du mauvais goût, "The Taint" se voulant cependant également, selon eux, une "dénonciation des slashers misogynes".

http://www.taintmovie.com/home.html

En postproduction, Scream of the Banshee de Steven C. Miller (Automaton Transfusion 1 & 2, Aera 52), écrit par Anthony C. Ferrante, superviseur d'effets spéciaux de maquillage (Le Dentiste 1 & 2) a pour héroïne un professeur d'archéologie qui, lorsqu'elle ouvre une étrange boite découverte dans le sous-sol d'une université, entend, elle et ses élèves, un cri horrible appartenant à une banhsee sanguinaire. Ils n'y pensent plus jusqu'à ce que ce cri commence à les hanter d'une façon étrange et surnaturelle. Selon la tradition irlandaise, si vous entende le cri d'une banshee, vous mourrez - et c'est précisément ce qui va se produire, la créature commençant à prendre la vie des jeunes étudiants, un par un... Lauren Holly, Lance Henricksen, Marcelle Bart et Todd Haberkorn figurent au casting de ce récit d'horreur financé par After Dark Originals, une nouvelle branche de After Dark Films, associé à Lionsgate et Syfy et datant du printemps dernier, qui entend livrer 8 films de genre originaux chaque année (les suivants seront Husk, Fertile Ground, Prowl, The Task, Re-Kill, Seconds Apart et 51). Rappelons que cette société de production et de distribution de films d'horreur, créée par Courtney Solomon, organise chaque année le festival After Dark Horrorfest, également connu sous le titre 8 Films to Die For, actuellement dans sa 4e année.

pas mal merci django

Deuxième escale à Gerardmer pour votre serviteur, pour une programmation déjà juteuse sur le papier ; on pouvait y croiser quelques bêtes de festivals déjà apparues à L'étrange festival ou à Cannes, ce qui n'a rien pour déplaire. Cette année, on peut dire que le festival se faisait un petit tour du monde ; Mexique, Uruguay, France, Finlande, Norvège, Hong-Kong, Corée du Sud, Australie, Maroc ; le tout présidé par un Dario Argento un brin fatigué, mais toujours apte à déchaîner les foules. Il était à peine étonnant de trouver Alexandre Aja à ses côtés, aussi admiratif que n'importe lequel d'entre nous.

JOUR 1
L'ouverture se profile par le premier des Night Chronicles, collection de films d'épouvantes parrainés par M.Night Shyamalan : "Devil". Il est donc à peine surprenant de voir cette série b relativement efficace (on peut se souvenir encore de son vertigineux générique) se voit plomber par un twist aux relents de cours de catéchisme. Pas cool...

JOUR 2
L'affront de "Devil" est très vite réparé par la quête immobilière et sanguinolente faisant les attentions de "Dream Home," sans doute le Cat III le plus impressionnant de ces dernières années. C'est impitoyable, c'est drôle, c'est fou, c'est vraiment méchant, et même touchant : assurément un des temps forts du festival. Les rétrospectives Argento, alléchantes, soulèvent l'indignation : en place des copies HD ou 35 Mm attendues, les spectateurs se sont surpris à découvrir les dvd et les blu-ray de Wild Side !! Ceux qui souhaitaient découvrir "Suspiria" avec un son Mono et une image floue ont dû adorer...

Bien malheureusement recalé à la section vidéo, le superbe "Heartless" marque le retour de Philip Ridley au cinéma après une longue absence qu'on aurait cru définitive : ce "Angel Heart" revu au goût du jour cristallise tout l'univers magique et cruel du réalisateur de "L'enfant miroir" et de "The Darkly Noon" dans une ballade démoniaque évoquant même Clive Barker. Immanquable.
Une autre bonne surprise (moindre, mais agréable) également avec "En Quarantaine 2", DTV hors compétition se détachant de son piteux modèle pour une traque aux infectés se déroulant dans l'entrepôt d'un aéroport. Adieu vue subjective, pour une série b musclée faisant quasiment office de troisième volet (potentiel) à la saga espagnole concurrente. On fait nettement moins les malins cependant devant 'Mirages', premier film d'horreur marocain à l'amateurisme flagrant : ce croisement de survival (loupé) et de fantastique (léger) a au moins le mérite d'être soutenu par des acteurs plus que convenables. Insuffisant hélas.
Quant aux documentaires de l'année, ils ont garanti l'ambiance de la soirée : "American Grindhouse" se penche, comme son nom l'indique, sur le cinéma d'exploitation américain dans un survol rythmé et drolissime ; alors que "Machete Maidens Unleashed" (réalisé par la même équipe que le génial "Not quite hollywood) s'intéresse aux films d'exploitations tournés aux Philippines ; le plaisir, entre anecdotes croustillantes et extraits surréalistes, est le même bien que l'ensemble soit un poil moins bien rythmé et s'égare de temps à autre.

JOUR 3
Avant le grand froid, la petite bouffée de chaleur en provenance du Mexique : croisant drame auteurisant dépressif et horreur sociale, "Ne nous jugez pas" apporte un regard assez innovant sur les cannibales, ici une famille bien décidée à repartir à la chasse après la mort de leur patriarche. Un brin longuet, trop retenu peut être, mais solide...jusqu'à un dernier acte volontiers plus bordélique, comme tenté subitement de rattraper le temps perdu.

Après-midi neigeux, autant dans les salles qu'à l'extérieur avec trois films en provenance de Scandinavie : "Rare Exports", où le père noël se fait père fouettard le temps d'un hommage jouissif aux blockbusters fantasy des années 80 ; "Cold Prey 3", suite tristounet cachant un remake à peine voilé du premier film, trouvant prétexte dans son format préquelle ; et "The Troll Hunters", sorte de Cloverfield venu du froid au capital sympathie incroyable. Difficile de ne pas se décrocher la tête à la vue des créatures, toutes plus impressionnantes les unes que les autres. De la bonne crème glacée tout ça...

A cela s'ajoute "Prowl", réalisé par le papa de "Manhunt", ici expatrié aux Etats-Unis à l'occasion de ce petit film lorgnant du côté de "30 jours de nuit", vite échoué dans le catalogue du After Dark Horrorfest. Malgré un budget étriqué (une scène de voiture digne d'une production hollywoodienne des 30/40, vous voyez le topo ?) et une shakycam hystérique, le contrat est rempli sans bavures, se permettant même un épilogue inattendu.

Bilan plus douloureux pour "Hybrid", dont la facture z ferait oublier qu'il s'agit du réalisateur de "Maléfique" derrière la caméra. Retourne en France Eric !

Côté vidéo, "Triangle" s'impose également, alors qu'il aurait mieux de rejoindre les rangs de la compétition, et "Terreur", bien que réussi, rejoint le lot des adaptations barkeriennes hélas peu indispensables. Sa cruauté poisseuse fait tout de même assez mouche, malgré un canevas torturé dans l'air du temps.

JOUR 4
Matinée chargée avec "J'ai rencontré le diable", dont les déboires avec la censure en Corée avait de quoi alerter tout amateur de l'extrême : et le résultat ne se fait pas attendre, avec le film de vengeance le plus hardcore et le plus jusqu'au boutiste vu depuis la trilogie de Park Chan Wook et le québécois "Les 7 jours du talion". Un jeu du chat et de la souris atteignant des sommets de barbarie sur une durée quelque peu inhabituelle (2h20 !) mais parfaitement maîtrisée de bout en bout. Cette orgie de chair fracassée risque de refaire parler d'elle...

La sélection de courts-métrages ouvrant cette douce après-midi ne déçoit pas vraiment...mais ne bouscule pas non plus. La beauté saisissante de "Miroir" se heurte à un certain hermétisme tandis que le curieux "Mandragore", étrange conte balancé entre tentation du gore (production Metaluna oblige) et tension érotique fascine plus gentiment plus qu'il n'emballe totalement. "Red Ballon" et sa légende urbaine réappropriée de la baby-sitter menacée se prend des airs (ratés) de Balaguero et de Fincher, "Le vivier" baigne dans des eaux de fable surréaliste appréciables, alors que plus loin, "No Face" s'apparente à un joli film de fin d'études. Drôles et malins, "Cabine of the dead" et "Bloody Christmas 2" le sont, et on le pardonnera facilement leurs défauts de jeunesse (interprétation inégale pour le premier et visuel cheapos pour le second).

Prouesse technique (il s'agit d'un plan séquence d'1h20) attendue au tournant, "The silent house" est devenu rapidement la bête noire du festival ; les frissons et le surnaturel laissent place à un irrémédiable sentiment de lassitude ; pas de doute, on s'est fait avoir. Bilan amer mais sauvé in extremis par l'ambiance généreuse de l'hommage dédié à Argento, et la projection de l'ahurissant "The Loved One"s, qui a déchaîné aussi bien le public que les malaises (véridique !). Imaginez un instant le croisement de "Misery" (pour la séquestration sauvage), de "Wolf Creek" (ce petit goût d'Australie sauvage et sanglante) et de..."Rose-Bonbon" ! Une folie...

Rare film français hors compétition, "Proie" se révèle à la fois carré et honnête. Alléluia ? Pas tout à fait, tant tout ce qui passe à l'écran (imaginez Razorback 2 version camembert) paraît balisé et sans grand intérêt.
Le tout clôturé par la nuit giallo, dont les plus spectateurs les plus courageux ont pu être récompensé par la projection d'une copie 35 mm de L'éventreur de New-York. Vive les canards et les rasoirs donc.

JOUR 5
Une douce fin : "Bedevilled" frôle le hors sujet (on nage dans le drame tragique à coups d'abus sexuels et de maltraitances) mais dérape soudainement dans le slasher dégénéré aussi gore que poétique. Les asiatiques ont décidé de rugir du sang cette année...

Plus anecdotique, le dernier Brad Andersen renoue avec l'obscurité tueuse de "Nuits de terreur" et du "Peuple des ténèbres" (ça remonte...) pour un produit fadasse et sans grande envergure (à part si voir des quidams éteindre et rallumer des lampes vous fasse bondir). Rien d'équivalent donc aux films de la compétition, suffisamment fort de café cette année pour faire oublier le programme plus commun de l'année dernière. Neige & Sang font toujours autant bon ménage à Gérardmer...

Le palmarès :

Grand Prix, avec le soutien de la Région Lorraine : Bedevilled réalisé par Jang Cheolsoo.

Prix du Jury : Ne nous jugez pas, réalisé par Jorge Michel Grau,?à égalité avec The Loved Ones, réalisé par Sean Byrne.

Prix de la Critique : J'ai rencontré le Diable, réalisé par Kim Jee-Woon.

Prix du Jury Jeunes de la Région Lorraine : J'ai rencontré le Diable, réalisé par Kim Jee-Woon.

Prix du Public L'Est Républicain / Vosges Matin : J'ai rencontré le Diable, réalisé par Kim Jee-Woon.

Prix du Jury Syfy : The Loved Ones, réalisé par Sean Byrne.

Grand Prix du Court Métrage : Le Miroir, réalisé par Sébastien Rossignol.

Prix du Meilleur Inédit Vidéo : Triangle, réalisé par Christopher Smith.

L'éditeur WILD SIDE va sortir deux nouveaux titres en ce début février.





Déjà disponible (sortie le 2 février), "SLICE" de Kongkiat Komesiri est un thriller choc se déroulant à Bangkok, ville qui est le théâtre d’une série de meurtres terrifiants, dont les victimes sont à chaque fois retrouvées dans des valises rouges. La police, impuissante, décide alors d’engager un ex-tueur à gages aujourd’hui emprisonné pour retrouver l’auteur de ces crimes. Entre l’ancien assassin professionnel et le tueur en série, le face-à-face va devenir inévitable…

Le film est disponible en Dvd et Blu-ray.

http://www.horreur.com/nouvelle-1152-nouveautes-wild-side.html

Le 9 février, ce sera au tour du film de Måns Mårlind et Björn Stein, "LE SILENCE DES OMBRES", de bénéficier d'une sortie Dvd et Blu-ray. Mettant en scène Julianne Moore, le film narre l'histoire de la psychiatre Cara Harding, qui est spécialisée dans l’étude des tueurs en série. Son père, lui-même psychiatre de renom, lui soumet le cas étrange de David, patient atteint de schizophrénie. Cara découvre bientôt que les multiples personnalités de David sont toutes les victimes de meurtres sordides. Elle doit alors résoudre ce redoutable cas clinique qui va la mener aux frontières de la folie…



Bref, les amateurs de thrillers violents et angoissants devraient trouver leur bonheur...


http://www.horreur.com/nouvelle-1152-nouveautes-wild-side.html

Ce film datant déjà de 2007 vient de sortir chez nous en dvd chez Pathé. Le titre original de "STORM WARNING" a été retravaillé puisque le film sort sous le titre de INSANE !

Toujours est-il que Jérémie Marchetti a été enjoué par ce survival du au réalisateur de "Urban Legend" et qu'il vous en dit le plus grand bien dans sa chronique...

http://www.horreur.com/critique-1375-insane.html

http://www.horreur.com/nouvelle-1156-fiche-folies-passageres.html

C'est le 15 février que l'éditeur Emylia sortira en Dvd et combo Dvd/Blu-ray ce film de Richard Dutcher. EVIL ANGEL reprend le mythe antique de Lilith transposé au 21ème siècle au travers d’une meurtrière perverse, sexy et séduisante. Lorsque Lilith, première femme d'Adam, a refusé de se soumettre à son autorité, elle a été chassée du jardin d'Eden et remplacée par Eve : furieuse Lilith devient la compagne de lucifer et n’a depuis cessé de se venger.
Lilith retourne sur terre à Chicago pour assouvir sa vengeance sanglante sur des êtres humains innocents...

Le Grand Prix du festival de Gérardmer 2011 a été attribué à BEDEVILLED, drame horrifique qui sortira en Dvd et en Blu-ray le 3 mai 2011, sous un nouveau titre, celui de BLOOD ISLAND.

Notre rédacteur Jérémie Marchetti a pu découvrir ce film durant le festival et il vous livre son avis plutôt très positif...

http://www.horreur.com/critique-1955-blood-island.html

http://www.horreur.com/nouvelle-1158-blood-island-%28bedevilled%29.html

Jérémie Marchetti continue de nous faire partager ses chroniques des films qu'il a pu voir au festival de Gérardmer et c'est à nouveau d'un film en provenance de Corée du Sud dont il va nous parler, après "Blood Island".

Cette fois, il s'agit de l'oeuvre déjà très controversée de Kim Jee-Woon, J'ai rencontré le Diable, qui sortira le 6 juillet en salle. Et d'après Jérémie, c'est une vraie bombe !

http://www.horreur.com/critique-1956-j-ai-rencontre-le-diable.html

http://www.horreur.com/nouvelle-1160-j-ai-rencontre-le-diable.html

encore un film chinois c'est n'importe quoi et les autres pays comme l'Italie et les usa ne savent plus en faire

On continue avec nos chroniques des films présentés au Festival de Gérardmer 2011, avec THE SILENT HOUSE, film en provenance de l'Uruguay, et qui a, comme vous le raconte Jérémie Marchetti, provoqué plus de bâillements et d'ennui que de frissons...

http://www.horreur.com/critique-1957-silent-house-the.html

encore un truc style survival ( qui se traduit par la survie il y a ça à toute les sauces ) et comme si c'était un film amateur

Une news qui va mettre du baume au coeur des fanas de barbarie et de tripailles ! Andreas Schnaas (la saga "Violent Shit") s'est associé à Timo Rose ("Barricade") pour co-réaliser "VIOLENT SHIT 4.0" ("Nikos the Impaler" étant appelé violent shit 4...), sous-titré Karl the Butcher vs Axe

Dans un futur post-apocalyptique, Karl le boucher (interprété par Schnaas) va devoir faire face à un nouveau tueur en série ultra-violent, Axe (interprété par Rose). Bref, de quoi s'attendre à un maximum de gore et de barbaques !

Le film sortira demain 15 février en dvd, en anglais et en allemand, sans sous-titres malheureusement.



oui ça a l'air marrant pas non plus un grand film

Nos amis de Métaluna viennent de sortir le septième numéro de leur très joli fanzine !

Au programme :

- L'Etrange Festival
- Weird Westerns (2eme partie)
- Aspects du cinéma fantastique belge
- Le masque de la méduse de Jean Rollin
- San Diego Comic Con
- Sioux Sinner
- Dossier Les Cro-Mignonnes, pin-ups préhistoriques
- Hommage à Franck Frazetta
- dvdrama et culture diabolique

Tout ça au format A5, tout en couleurs et seulement pour 6 euros !

On commande chez SIN'ART et tout le monde est content !

Un satellite de reconnaissance américain détecte un haut taux de radioactivité dans le désert de l’Afghanistan. Un groupe de réservistes des Forces Spéciales y est envoyé en mission et s’enfonce dans le désert en apparence si tranquille… Mais quelque chose se cache sous le sable, quelque chose de bien plus dangereux que les attaques-surprises des talibans. Plus la troupe s’approche de son but et plus les légendes voulant que cette région du pays soit hantée se confirment…

Tel est le scénario du ULTIMATE PATROL de Daniel Myrick, bien connu pour avoir été le co-réalisateur du film "le projet Blair Witch".

Le film sortira dès le 1er Mars, en Dvd et Blu-ray. Les deux supports auront les mêmes spécificités au niveau des bonus, à savoir un Making Of de 16 minutes et la bande-annonce.

Edité par France Télévisions Distribution



rien à dire

Gunnar Hansen est évidemment connu pour avoir été Leatherface dans "Massacre à la tronçonneuse" de Tobe Hooper.

On l'a revu de temps à autre dans des films d'horreurs de seconde zone où il baladait sa massive carrure.

Le réalisateur Islandais Julius Kemp a également décidé de lui attribuer un rôle dans son film venu du grand froid, HARPOON, qui se veut un "Texas Chainsaw Massacre" sur un chalutier, comme le clame l'une des jaquettes américaines !

Gérald Giacomini a pu visionner en avant première le Dvd qui sortira le 1er Mars (ainsi que le Blu-ray) et il vous livre son avis sur ce slasher marin...

http://www.horreur.com/critique-1959-harpoon.html

Le très sympathique "PIRANHA 3D" de notre frenchy Alexandre Aja sortira demain 23 février en Dvd et Blu-ray chez WILD SIDE.

Une grosse sortie puisque le film se fait décliner en 4 formats :

LE DVD EDITION SIMPLE 2D :


CARACTERISTIQUES TECHNIQUES
Format Image : 2.35, 16/9e comp. 4/3
Format son : Français DTS 5.1 plein débit et Stereo 2.0,
Anglais Dolby Digital 5.1
Sous-titres : Français – Durée : 1h25

COMPLEMENTS
- interview exclusive de Kelly Brook (13’)
- Arrêtez de crier, nagez ! les entrailles de piranha 3d - making-of version courte (18’)
- 6 scènes coupées, avec commentaire optionnel du réal. Alexandre Aja (7')
- galerie photos / bandes-annonces

+ INCLUS :
LA COPIE NUMÉRIQUE DU FILM A TELECHARGER
(VOST + VF – version 2D)


LE DVD EDITION COLLECTOR 2D/3D Anaglyphe


le film en 2D et en 3D anaglyphe
(visionnable sur matériel standard - 2 paires de lunettes fournies)
CARACTERISTIQUES TECHNIQUES
Format Image : 2.35, 16/9e comp. 4/3 - Format son : Français DTS 5.1 plein débit et Stereo 2.0, Anglais Dolby Digital 5.1 - Sous-titres : Français – Durée : 1h25

COMPLEMENTS
- Interview exclusive de Kelly Brook (13’)
- Arrêtez de crier, nagez ! les entrailles de piranha 3d - making-of version courte (18’)
- 6 scènes coupées, avec commentaire optionnel du réal. Alexandre Aja (7')
- Jeux de massacre : Interview exclusive du réalisateur Alexandre Aja de son co-scénariste Grégory Levasseur (32’)
- Story-board animé de 2 séquences inédites (abandonnées avant
tournage – 12’)
- galerie photos / bandes-annonces

+ INCLUS : LA COPIE NUMÉRIQUE DU FILM A TELECHARGER
(VOST + VF – version 2D)


LE BLU-RAY 2D/3D Anaglyphe

le film en 2D et en 3D anaglyphe
(visionnable sur matériel standard - 2 paires de lunettes fournies)

CARACTERISTIQUES TECHNIQUES
Format Image : 2.35 – Résolution film : 1080/24p - Format son : Anglais & Français DTS Master Audio 5.1 - Sous-titres : Français – Durée : 1h31

COMPLEMENTS
- Arrêtez de crier, nagez ! les entrailles de piranha 3d making-of version longue (2h)
- interview exclusive de Kelly Brook (13’)
- Jeux de massacre : Interview exclusive du réalisateur Alexandre Aja de son co-scénariste Grégory Levasseur (32’)
- 6 scènes coupées, avec commentaire optionnel du réal. Alexandre Aja (10')
- Story-board animé de 2 séquences inédites (abandonnées avant
tournage – 12’)
- galerie photos / bandes-annonces

+ INCLUS : LA COPIE NUMÉRIQUE DU FILM A TELECHARGER
(VOST + VF – version 2D)


LE BLU-RAY 3D ACTIVE

le film en 2D et en REAL 3D
(3D active, lisible avec matériel adéquat : écran TV 3D et lecteur Blu-ray 3D)

CARACTERISTIQUES TECHNIQUES
Format Image : 2.35 – Résolution film : 1080/24p - Format son : Anglais & Français DTS Master Audio 5.1 - Sous-titres : Français – Durée : 1h31

COMPLEMENTS
- Arrêtez de crier, nagez ! les entrailles de piranha 3d making-of version longue (2h)
- interview exclusive de Kelly Brook (13’)
- Jeux de massacre : Interview exclusive du réalisateur Alexandre Aja de son co-scénariste Grégory Levasseur (32’)
- 6 scènes coupées, avec commentaire optionnel du réal. Alexandre Aja (10')
- Story-board animé de 2 séquences inédites (abandonnées avant
tournage – 12’)
- galerie photos / bandes-annonces

+ INCLUS : LA COPIE NUMÉRIQUE DU FILM A TELECHARGER
(VOST + VF – version 2D)


Bref, de quoi satisfaire les curieux comme les fans du film !


https://www.dailymotion.com/video/xe1yo8_piranha-3d-bande-annonce-1-hd-vf-de_shortfilms#from=embed

Le thriller claustrophobique de Rodrigo Cortès sortira le 22 mars en Dvd et Blu-ray chez Universal.

Edités par Studio 37, les deux supports comprendront au niveau des bonus un making of intitulé "les dessous d'un tournage inédit" (1H) ainsi que des bandes annonces.

Pour mémoire, on vous remet la chronique de Vincent qui avait été ravi par le film :

http://www.horreur.com/critique-1954-buried.html

Scandale sur le net ! Après avoir osé remaker le quatuor des films chocs des années 70 ("massacre à la tronçonneuse", "zombie", "la colline a des yeux" et "la dernière maison sur la gauche"), voici que les américains continuent sur leur lancée et s'attaque en 2010 à un autre film légendaire des 70's, "OEIL POUR OEIL", un classique en puissance du Rape and Revenge !

Fallait-il pendre le réalisateur de ce remake et toute son équipe ? D'après Gérald Giacomini, pas du tout ! Ce remake s'avère une excellente surprise et s'impose d'emblée comme l'un des remakes les plus réussis et les plus sauvages de ces dernières années !




http://www.horreur.com/critique-1960-i-spit-on-your-grave.html

Retour de Jérémie Marchetti avec encore une chronique d'un film présenté au festival de Gérardmer 2011.

Cette fois, il s'attaque à un CAT III sauce slasher avec DREAM HOME, qui, comme vous le lirez, ne lésine ni sur le gore, ni sur le sexe, ni sur le mauvais goût !

CHRONIQUE : https://www.youtube.com/watch?v=o4dD1Fvw6XI

La comédie romantico-zombiesque MAKE OUT WITH VIOLENCE de Andy Duensing et Christopher Doyle (sous le pseudo des Deagol Brothers) sortira chez l'éditeur Emylia sous le titre de "ZOMBIE LOVER" le 2 mai 2011 en pack combo Dvd+Blu-ray.

Ce film indépendant met en scène Patrick et Carol, deux frères jumeaux venant juste de terminer leurs études universitaires. Ils vivent dans une petite ville américaine de banlieue avec leur jeune frère Beetle. Un jour, la belle Wendy, une amie de l’université, disparaît. Un moment difficile pour les deux jumeaux, secrètement amoureux de la jeune femme. En se baladant dans les bois, les frères vont tomber sur le cadavre de Wendy. Un cadavre, mais vivant ! Les jumeaux vont alors ramener la jeune femme chez eux et essayer d’en prendre soin en secret...

Peu de sang dans le film, les réalisateurs étant plus intéressés par la dimension humaine des personnages et par ce triangle amoureux hors norme...

Niveau bonus, on trouvera sur chaque support le commentaire audio du réalisateur, des scènes supprimées et les musiques supprimées.

On l'attendait, il arrive enfin dès le 6 avril (c'est mon anniversaire si y'en a qui ne savent pas quoi m'acheter...) !!

De quoi parle t'on me direz-vous ? Ben du coffret GRINDHOUSE édité par TF1 Vidéo et qui nous propose enfin de voir "Boulevard de la mort" et "Planète terreur" dans leur montage initial, montés l'un après l'autre avec un entracte proposant les bandes-annonces déjà cultes créées pour l'occasion par Rob Zombie ou Eli Roth entre autre...

Niveau bonus, on en trouvera à la pelle avec :

- Les bolides du film (11'43")
- "Réservoir Pop" : la culture selon Tarantino (20'28")
- "Les as du volant" : les cascades du film (19'51")
- "Baby It's You" version intégrale interprétée par Mary Elizabeth Winstead (3'30")
- "Kurt Russel est Mike le cascadeur" (9'30")
- "Zoë Bell : de cascadeuse à actrice" (9'59")
- "Des hommes sur le boulevard" : les acteurs du film (8'13")
- "Le fidèle co-pilote" : le montage de Sally Menke (4'34")
- Bande-annonce de "Double Dare" (2'21")
- Conférence de presse du Comic Con 2006
- "Ma leçon de cinéma en 10 minutes chrono"
- "Des nanas d'enfer : les filles de planete terreur"
- "Les hommes de planete terreur"
- Les débuts de Rebel au cinéma
- "Des zombies, des explosions et du sang" : les cascades et les effets spéciaux
- "Plus vrai que nature : le pote, le doc et l'agent immobilier"

Le tout pour un prix sympa de 20 euros le Blu-ray...

Vous vous rappelez du fait divers sordide dans lequel un homme avait passé une annonce sur internet dans laquelle il cherchait un cannibale pour le dévorer ? Il l'avait trouvé et il s'était fait couper le sexe puis dévorer par son "bienfaiteur"...

Le réalisateur Martin Weisz ("la colline a des yeux 2 - version 2007") s'est emparé de cette drôle d'histoire et en a fait un film, qui mérite enfin le slogan "basé sur une histoire vraie" si souvent galvaudé.

Steeve Raoult a pu visionner le dvd sorti le 9 mars chez TF1 Vidéo et il vous livre son avis très mitigé sur le résultat final...

CHRONIQUE : http://www.horreur.com/critique-1973-confession-d-un-cannibale.html


Pour information, le film est aussi disponible en Blu-ray chez le même éditeur.

Le musée d'Orsay proposera du 11 au 27 mars une rétrospective HAMMER FILMS avec la diffusion des plus grands classiques de la firme britannique.

Au programme :


* Horror of Dracula [Le cauchemar de Dracula] de Terence Fisher

Vendredi 11 mars 2011 - 20h00


* The Curse of Frankenstein [Frankenstein s'est échappé] de Terence Fisher

Samedi 12 mars 2011 - 16h00


* The Revenge of Frankenstein [La Revanche de Frankenstein] de Terence Fisher

Samedi 12 mars 2011 - 20h00


* Dracula, Prince of Darkness [Dracula, prince des ténèbres] de Terence Fisher

Dimanche 13 mars 2011 - 15h00


* The Brides of Dracula [Les maîtresses de Dracula] de Terence Fisher

Dimanche 13 mars 2011 - 17h00


* The Two Faces of Dr Jekyll [Les deux visages du Dr Jekyll] de Terence Fisher

Vendredi 18 mars 2011 - 20h00


* The Vampires Lovers de Roy Ward Baker

Samedi 19 mars 2011 - 16h00


* Dr Jekyll and Sister Hyde [Dr Jekyll et Sister Hyde] de Roy Ward Baker

Samedi 19 mars 2011 - 20h00


* Demons of the Mind [Les démons de l'esprit] de Peter Sykes

Dimanche 20 mars 2011 - 15h00


* The Devil Rides out [Les vierges de Satan] de Terence Fisher

Dimanche 20 mars 2011 - 17h00


* The Gorgon [La Gorgone] de Terence Fisher

Vendredi 25 mars 2011 - 20h00


* The Plague of the Zombies [L'invasion des morts vivants] de John Gilling

Samedi 26 mars 2011 - 16h00


* The Reptile [La femme reptile] de John Gilling

Samedi 26 mars 2011 - 20h00


* Frankenstein Must Be Destroyed [Le Retour de Frankenstein] de Terence Fisher

Dimanche 27 mars 2011 - 15h00


* Frankenstein and the Monster from Hell [Frankenstein et le monstre de l'enfer] de Terence Fisher

Dimanche 27 mars 2011 - 17h00


Pour l’occasion, Nicolas Stanzick fera une conférence à l’auditorium du musée, le samedi 19 mars à 18h, intitulée "La Hammer ou la naissance de la cinéphilie fantastique". Il dédicacera ensuite son livre.

Rendez-vous immanquable pour les amoureux du cinéma gothique anglais !