les infos :)

Petit bond dans le temps avec Stéphane Erbisti qui vous chronique un film de 1982, dont la jaquette lui a fait régulièrement de l'oeil mais qu'il n'avait pas encore eu l'occasion de visionner. Peut-être qu'inconsciemment, il savait que ça allait lui faire perdre son temps ?

C'est apparemment le cas vu la note final attribué au film...

CHRONIQUE : http://www.horreur.com/critique-1972-sortileges.html

Sorti récemment chez Wild Side, le thriller de Mans Marlind et Bjorn Stein met en scène Julianne Moore qui interprète le rôle de Cara Harding, psychiatre renommée, spécialisée dans l'étude des tueurs en série. Son père, lui-même psychiatre, lui soumet le cas du patient prénommé Adam, qui a plusieurs personnalités. En faisant des recherches, Cara découvre que les différentes personnalités d'Adam sont sont toutes des personnes mortes sauvagement assassinées...

Steeve Raoult s'est laissé embarqué dans ce thriller schizophrénique et il vous donne son avis sur le film :


CHRONIQUE : http://www.horreur.com/critique-1971-silence-des-ombres-le.html

Alors qu'il est toujours inédit en France, le dernier Wes Craven avant "Scream 4" est disponible en Dvd et Blu-ray zone 1 depuis le mois de février.

My soul to take raconte l'histoire d'un serial-killer qui ressurgit quinze ans après sa prétendue mort pour tuer les sept enfants nés cette nuit-là.

Réalisé et scénarisé par Craven lui-même, le film est-il une réussite ? Gérald Giacomini a visionné le dvd et vous livre son jugement :



CHRONIQUE : http://www.horreur.com/critique-1970-my-soul-to-take.html

Ayant eu la chance de vivre dans les années 80, j'avais pu acquérir la bande-dessinée tirée du "CREEPSHOW" de George Romero et dessinée par l'excellent Bernie Wrightson d'après les histoires de Stephen King. Rapidement épuisé, l'album était ressorti quelques années plus tard avant d'être à nouveau totalement épuisé. Devenu collector, il se vend dans les 30 à 50 euros sur les sites d'enchères.

Bonne nouvelle pour les fans, Soleil Productions a ressorti cette bande dessinée culte depuis le 23 février 2011, dotée d'une nouvelle couverture !

Un conseil, ruez-vous dessus...

Après avoir sorti "TOKYO GORE POLICE" et "THE MACHINE GIRL", l'éditeur Elephant Films s'attaque à un autre titre culte du même acabit avec l'excellent "VAMPIRE GIRL VS FRANKENSTEIN GIRL"

Disponible en Dvd collector et Blu-ray dès le 15 mars, voici les spécificités des deux supports :

DOUBLE DVD COLLECTOR

* DVD 1 : LE FILM (90 min )
Format d’image : 16/9 - 1.85 issu de Master HD
Pistes Sons : Français Dolby Digital 5.1
Français Stéréo 2.0
Japonais Dolby Digital 5.1
Japonais Stéréo 2.0
Sous titres : Français
Chapitrage - Bandes Annonces - Fonction ACTION
NON STOP (Accès direct aux scènes d’action)

* DVD 2 : LES BONUS (80 min )
Making of (65 min) - L’avant première (20 min)
Galerie de Photos - Bandes Annonces

LE BLU-RAY

Pistes Sons : 5.1 HD Français
5.1 HD Japonais
Sous titres : Français
Bandes Annonces HD

Comme vous le voyez, Elephant Films prend le contre-pied des autres éditeurs puisqu'il privilégie les bonus sur le support Dvd et non sur le Blu-ray. Une originalité qui fera sûrement grincer les dents des fanas du support Blu-ray mais ravira ceux qui n'en sont pas équipés...

Retour dans les années 80 et les fêtes de fin d'années avec Gérald Giacomini qui vous parle d'un célèbre slasher canadien avec Jamie Lee Curtis, LE BAL DE L'HORREUR.

Alors, que reste t'il de ce film en 2011 ? Réponse dans la chronique de notre spécialiste des tueurs à l'arme blanche...

http://www.horreur.com/critique-1982-bal-de-l-horreur-le.html

Après le petit billet sur l'appel à l'aide de deux projets que nous soutenons de tout cœur, continuons sur notre lancée " cinéma indépendant ". Il est temps de vous parler d'un court métrage Québécois intitulé Bonbons Rouges et signé JeF Grenier (A.normale : " killer cups ", " Par en arrière "...).
Le court métrage date de 2008, donc oui j'ai du retard. Mais comme disait Geronimo qui était insomniaque, il n'y a pas d'heure pour les braves.

Bonbons Rouges c'est une fable d'halloween, qui rend hommage à de nombreux films d'horreurs (ceux là même que vous avez sûrement déjà vu plusieurs fois si vous n'avez pas 12 ans). Le soir d'Halloween, entre deux bières et une poignée de bonbons, tout peut se passer.



Bonbons Rouges m'a bien fait plaisir, et pas uniquement parce que je suis fétichiste de l'accent québécois, et que le réalisateur à un goût certain pour filmer ses actrices " Par en arrière ". Non. Ce qui m'a vraiment plu c'est que le court métrage donne un sens nouveau à l'adage " contre mauvai$e fortune, bon cœur ". Certes le budget semble aussi étriqué que le conduit d'une babouin constipé. Mais le film a un cœur gros comme ça. C'est d'ailleurs pour ça que j'aime tant le cinéma indépendant (quand il n'est pas occupé à se regarder le nombril et chier à côté de la litière).
J'aime regarder un film et sentir le réalisateur me décapsuler une bière (dont l'abus est mauvais pour la santé), me la tendre et dire : " tu vois, toi et moi, on va capoter ben raide "... Ça ne veut pas dire que Durex ® va sponsoriser la soirée. Ça veut juste dire que le réalisateur s'est fait plaisir en faisant son film, mais pas égoïstement. Avec leur passion JeF Grenier et son équipe ont complètement comblé le trou que le budget laisse dans le film.
Car il est vrai que c'est parfois un peu cheap – surtout au niveau de l'enregistrement des dialogues. Mais ce n'est jamais cheap, ni en passion, ni en talent. Ça tombe bien, c'est le plus important.

http://www.horreur.com/nouvelle-1224-bonbons-made-in-quebec.html


Je ne peux donc que vous conseiller cet agréable court métrage de l'un des pionniers du DIY [NdR : Do It Yourself = Faites le Vous Même] à la québécoise. En plus la bande son est vraiment agréable m/ (-_-) m/ et dans les bonus, il y a une version du court en mode "jeu à boire" !

Voilà que je me mets à faire des smileys. Il est temps de mettre fin à cette note. Rendez vous sur le site d'A.normale si vous voulez en savoir plus.

Aventi va édité et distribué un thriller surnaturel le 19 avril, en Dvd. Son titre : THE TRAVELER - LE JUSTICIER DES TENEBRES, réalisé par Michael Oblowitz, avec dans le rôle du mystérieux Monsieur Personne, l'acteur Val Kilmer.

Si le scénario avait l'air plutôt sympa (un inconnu se présente dans un commissariat la veille de Noël et déclare qu'il va commettre six meurtres. Hors, il y a six agents dans le commissariat...), la prestation de Val Kilmer, ou plutôt sa non prestation, tire le film vers le bas et annihile complètement le résultat, comme vous l'indique Stéphane Erbisti dans sa chronique...

chronique : http://www.horreur.com/critique-1992-traveler-le-justicier-des-tenebres-the.html

http://www.horreur.com/nouvelle-1222-the-traveler.html

Bonjour à toutes et tous,

Aujourd'hui, je vous propose un petit film direct-to-dvd/blu-ray intitulé "mad zombies".
Scénario loufoque, personnages un brin décalés et "zombies" crétins, : si vous aimez les films à tendance grand-guignolesque, alors ce film peut être fait pour vous...

chronique : http://www.horreur.com/critique-1994-mad-zombies.html

Dernier titre à ce jour du catalogue Uncut Movies, Savage Streets, aka Les rues de l'Enfer, nous permettait de revoir Linda Blair après ses déboires avec la justice. Dans les années 80, notre ex-exorcisée apparaissait dans de nombreuses séries B, comme "Les Anges du Mal", "Red Heat", "Hell Night". Les rues de l'Enfer est peut-être son film le plus connu et le plus apprécié après "L'exorciste" car il faut avouer que la voir en tenue de cuir, arbalète à la main, pour se venger d'une bande de méchants garçons, est plutôt plaisant, comme vous le dit Stéphane Erbisti dans sa chronique :

chronique : http://www.horreur.com/critique-1995-rues-de-l-enfer-les.html

https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=RT9NGNh0HA4

pas mal merci django

Après "Cold Prey" et "Cold prey 2", il semblait inévitable qu'un troisième épisode de cette franchise norvégienne débarque en dvd. C'est donc chose faite, puisque Studio Canal sortira COLD PREY 3 le 21 juin.

Gérald Giacomini a pu visionner le film et en grand amateur de slashers movies, il vous livre son avis...

http://www.horreur.com/critique-2016-cold-prey-3.html

Nos amis d'Artus Films continuent sur leur lancée et ont décidé de nous offrir un somptueux coffret dédié à Bela Lugosi !

Au programme :

* Disque 1

VOODOO MAN
William Beaudine – 1944
Dans son manoir, le Dr Marlowe tente de redonner la vie à son épouse, grâce à l’énergie de jeunes filles enlevées, d’hypnose, et de rites vaudou.
90 min. – Noir et blanc – VOST – 4/3

THE MYSTERIOUS Mr WONG
William Nigh – 1934
Menant une enquête au sein de Chinatown, le journaliste Jason Barton se fait kidnapper par Mr Wong, un mégalomane qui tente de réunir les 12 pièces en or de Confucius, ce qui lui procurerait richesse et pouvoir.
90 min. – Noir et blanc – VOST – 4/3

Suppléments
Bandes-annonces
Galerie d’affiches et photos

* Disque 2

WHITE ZOMBIE
Victor Halperin – 1932
En voyage de noces à Haïti, Neil et Madeleine sont invités chez Charles Beaumont. Amoureux secrètement de Madeleine, celui-ci demande l’aide de Legendre, un prêtre vaudou, afin de la séduire.
90 min. – Noir et blanc - VOST – 4/3

LUGOSI : HOLLYWOOD’S DRACULA
Gary Rhodes – 2000
Documentaire sur la carrière de Bela Lugosi, avec interviews d’archives, extraits de films, et nombreux documents inédits.
52 min. - Couleur/Noir et blanc – VOST – 4/3

Suppléments
Bandes-annonces
Galerie d’affiches et photos

Et en cadeau, inclus dans ce coffret :
- le fac-similé du fanzine HORROR PICTURE "Le retour de Lugosi" - 32 pages
- cartes postales de reproductions d’affiches et lobby cards

Bref, pour tous les amoureux de Lugosi, une occasion à ne pas rater ! Sortie prévue le 5 juillet 2011 !

Mort dans l'indifférence quasi-générale en 2007, Bruno Mattei fait parti de cette race de réalisateur qui ont fait le bis. Pour le meilleur ( mais si, mais si ) et surtout pour le pire.
Horreur.com et son chroniqueur qui a abusé de substances illicites lui rendent un hommage appuyé.



http://www.horreur.com/filmographie-146-mattei-bruno.html

Aujourd'hui, nous vous proposons un petit retour sur la carrière du plus célèbre réalisateur Canadien, David Cronenberg. Le maître de la nouvelle chaire, de la mutation et de la psychologie déviante.


http://www.horreur.com/filmographie-145-cronenberg-david.html

Bonjour à toutes et à tous,

Après être revenu sur quelques sagas de films de monstres (les "carnosaur", "feast", "troll", "la mutante", "la momie" et autres "ghoulies" et "anaconda" entre autres) j'ai décidé cette fois-ci de revoir avec vous le temps d'un gros week-end la saga des "tremors" (vous savez, ces gros vers carnivores que l'on trouve dans les déserts américains!) avant de m'attaquer en juin à une autre saga de monstres bien connue également.

Commençons donc aujourd'hui par la première suite (la fiche de "tremors" premier du nom étant déjà à votre disposition sur le site)! Bonne lecture!

Fiche : "tremors 2 : les dents de la terre"

Bonne journée!


http://www.horreur.com/critique-2010-tremors-2-les-dents-de-la-terre.html

merci django

Bonjour à toutes et à tous,

je boucle mon programme de juin avec la critique clôturant la saga des "Critters". Hé oui c'est aujourd'hui que nous nous intéressons au quatrième et dernier opus de la saga!

Bon ben autant être franc tout de suite : c'est pas terrible terrible (c'est même nul en fait...).

Allez, cette fiche-là, c'est ce qu'on pourra appeler mon petit "cadeau empoisonné" de cette année pour mes chers ami(e)s lectrices et lecteurs! RIRE!

http://www.horreur.com/critique-2023-critters-4.html

Wild Side sort aujourd'hui 21 juin en Dvd et Blu-ray le film THE REEF d'Andrew Traucki, qui met en scène une bande de copains dont le bateau heurte un récif coralien, ce qui va avoir pour effet de l'entraîner vers les fonds. Le petit groupe décide alors de rejoindre une île avoisinante à la nage mais un terrible prédateur rôde dans les parages...

Steeve Raoult, en fan de "Shark Movies" a plutôt apprécié le film, qui peut sembler n'être qu'une copie d'OPEN WATER mais qui possède de bonnes qualités, comme il vous l'explique dans sa

http://www.horreur.com/critique-2024-reef-the.html

L'éditeur Artus Films n'arrête plus ! Au mois d'août, il sortira une nouvelle collection consacrée aux films d'horreurs rares des années 70 ! Et pour bien commencer la collection, voici les deux premiers titres :

- THE KILLING KIND de Curtis Harrington - 1973


Accusé à tort de viol, Terry passe 2 ans en prison. A sa sortie, il reprend sa vie monotone au sein de la pension tenue par sa mère. De nature timide et fragile, il se met quand même en tête de se venger de ses accusateurs. Alors que les victimes s’enchaînent, il est régulièrement espionné par la voisine de la maison d’en face, une jeune femme frustrée, vivant avec son père.


- DEVIL TIMES FIVE de Sean McGregor - 1974


Cinq enfants mentalement dérangés voyagent en autobus pour un transfert psychiatrique. Après un accident, les enfants se retrouvent seuls et isolés, en plein hiver. Ils trouvent refuge dans un chalet de montagne, lieu de vacances pour une famille. Les adultes prennent les enfants sous leur protection, mais très vite, ils vont se rendre compte que les plus meurtriers ne sont pas ceux que l’on croit.


Sortie nationale en magasin le 18 août ou déjà disponible sur le site de l'éditeur !

Sorti récemment chez ARTUS FILMS, ce film franco-italien assez rare met en scène Christopher Lee dans le rôle d'un aristocrate pas si éloigné que ça du fameux Comte Zaroff...

Stéphane Erbisti vous donne son avis sur le film :

http://www.horreur.com/critique-2027-chateau-des-morts-vivants-le.html

Après le succès de "TERMINATOR", on a vu débarquer sur les écrans de nombreux robots et autres cyborgs en tout genre, comme dans "Atomic Cyborg" ou bien dans "Robocop" par exemple.

Un an avant le chef d'oeuvre de Paul Verhoeven, Jean Claude Lord réalise Vindicator et à la surprise générale, on retrouve de nombreux éléments présents dans "Robocop" ! Verheoven a t'il vu Vindicator avant de mettre en chantier son film ????



http://www.horreur.com/critique-2028-vindicator.html

Un nouveau e-zine entièrement gratuit a fait son apparition et on en félicite le créateur, Michel Nussbaum !

Pour le premier numéro, l'auteur frappe fort puisqu'il consacre ses pages au chef d'oeuvre gothique "LE MASQUE DU DEMON" ainsi qu'à sa déesse, Barbara Steele.

Pour recevoir le zine au format PDF, il vous suffit d'envoyer un simple mail à l'auteur :
strapontindubis@yahoo.fr

Bonne lecture et vivement le prochain !


http://www.horreur.com/critique-210-masque-du-demon-le.html

Présenté au festival de Tribeca en 2007, The Poughkeepsie tapes avait littéralement créé un buzz : il ne s’agissait ni plus, ni moins que d’un documentaire dans lequel on pouvait voir des vidéos tournées par un authentique serial killer toujours en liberté. Encore inédit en DVD et quasi introuvable sur la toile, le mystère plane toujours sur la petite ville au nord de New-York qu’on appelle Poughkeepsie. Alors s’agit-il d’un énième ersatz du poussif "The last horror movie" ou bien d’un véritable "snuff movie" ?

Vincent Duménil nous répond ici :


http://www.horreur.com/critique-2029-poughkeepsie-tapes-the.html

Terry Lambert vient de sortir de prison après avoir passé deux ans derrière les barreaux pour un viol qu'il n'a pas commis. De retour chez sa mère Thelma, qui tient une sorte de pension pour personnes âgées avec quelques chambres à louer, le jeune garçon va vite montrer des signes de faiblesses psychologiques, notamment devant les personnes de sexe féminin, qui se traduisent par des accès de fureur. Prenant plaisir à maltraiter les animaux, et bien décidé à se venger de la jeune fille qui l'a accusé de viol et de son avocate qui n'a rien fait pour lui, Terry va sombrer peu à peu dans la folie et commettre l'irréparable, malgré l'amour excessif que lui porte sa mère...




Réalisateur méconnu ayant pourtant une dizaine de long-métrages à son actif et protégé de Roger Corman dans les années 60, Curtis Harrington, principalement connu pour le film d'horreur Ruby, nous livre en 1973 "The Killing Kind", qui s'avère être plus un drame intimiste et psychologique qu'un véritable film d'horreur comme on pouvait en voir dans les années 70. Le film repose en effet sur les relations ambiguës d'une mère et de son fils, ce dernier souffrant de symptômes sexuels traumatiques depuis que ses amis ont violé une jeune fille et ont essayé de le faire participer. Sa frustration sexuelle envers les femmes, véritable déclencheur de ses pulsions inavouables, est amplifiée par le comportement de sa génitrice, dont certains gestes ou paroles laissent planer un doute quand à une possible relation incestueuse, qui n'est jamais clairement indiquée, aux spectateurs de se faire leurs propres idées sur le sujet.



Le film nous dépeint donc la vie trouble de Terry, interprété par le tout jeune John Savage, ce qui se traduit à l'écran par de très nombreuses scènes de dialogues entre le fils et sa mère, qui s'étirent en longueur et peinent à réellement nous intéresser. Curtis Harrington essaye pourtant de créer une ambiance et un climat étouffant, dissémine petit à petit des indices nous faisant comprendre que le jeune homme, sous ses allures de garçon timide, est totalement fou (l'étranglement du chat, le sadisme qu'il affiche avec le rat...), place des personnages au comportement étrange (la voisine voyeuse qui semble fantasmer sur le fait que Terry a été mêlé à une affaire de viol) mais la sauce ne prend pas vraiment et le film ne se montre jamais malsain ou dérangeant, comme on aurait pu le penser à la vue du visuel de l'affiche et surtout du slogan choc "il les aime toutes...mais mortes".



the killing kind, réalisé avec un tout petit budget, à parfois l'allure d'un simple téléfilm et ne sort pas vraiment du lot, la faute à un manque de rythme probant, ce qui rend sa vision assez laborieuse la plupart du temps. Le meurtre de Lori dans la baignoire vers la fin donne un petit coup de fouet à cet ensemble en demi-teinte, mais ne suffit pas à nous faire oublier l'ennui qui a précédé. Malgré quelques scènes intéressantes et la présence d'un réalisateur qui sait tenir une caméra, the killing kind s'avère décevant et bien trop sobre pour marquer les esprits. On remerciera néanmoins l'éditeur Artus Films pour avoir sorti en Dvd ce film rare.